Par Alexandre le 01/12/2008 – /Seduction
La pression sociale est moindre lorsqu’il y a moins de société autour. Côté féminin, la peur de se faire une mauvaise réputation empêche d’agir librement. Elle est exacerbée lorsque des personnes face auxquelles on veut faire bonne impression peuvent l’apprendre. Dans le cas d’une femme, la mauvaise réputation est de passer pour une femme facile, dans le cas d’un homme, la mauvaise réputation est d’échouer ou de passer pour un loser.
Dans la rue, les femmes sont loin du regard de leurs amis/es et des gens de leur milieu social ou professionnel. Se sentant protégées de tout jugement, elles peuvent se permettre un comportement moins étriqué, moins conventionnel, plus libre, à condition qu’on sache encourager leur franchise et réveiller leur nature profonde. C’est pourquoi des touristes en vacances, loin de leur pays et de leur milieu habituel deviennent plus faciles lorsqu’elles sont dépaysées (femme de passage, femme pas sage).
Notre société est faite de telle façon qu’on oublie souvent qu’on a plus de chances avec une femme abordée dans la rue qu’avec la même femme si elle nous avait été présentée par un/une amie commune. La même chose côté masculin, on est moins à l’aise, on a davantage peur d’un refus, on est plus soucieux de sa réputation lorsqu’on a des amis communs.
La pression sociale est moindre lorsqu’il y a moins de société autour. Côté féminin, la peur de se faire une mauvaise réputation empêche d’agir librement. Elle est exacerbée lorsque des personnes face auxquelles on veut faire bonne impression peuvent l’apprendre. Dans le cas d’une femme, la mauvaise réputation est de passer pour une femme facile, dans le cas d’un homme,la mauvaise réputation est d’échouer ou de passer pour un loser.
Sans les barrières de la pression sociale, on a davantage de chances d’amorcer une relation autrement impossible et d’aller plus loin dans l’exercice d’une relation sans préjugés. Dans la rue vous êtes seul, personne ne vous voit échouer. Dans la rue une femme est seule, personne ne la voit céder.
Cependant, même la pression sociale écartée, il reste la morale, la loi, la pression sociale internalisée ! La honte ! La peur d’échouer existe même en absence de témoins, c’est à vous d’y faire face. Côté féminin, même sans témoins, sa morale lui empêche de se sentir une femme facile. C’est aussi à vous de gérer le rapport.
Une femme peut avoir beaucoup de préjugés sociaux, racistes ou des blocages à caractère moral ou religieux. Ces préjugés peuvent être ancrés plus ou moins chez elle. Souvent ces préjugés ou blocages sont nourris ou encouragés par la famille, les amis, le contexte social ou professionnel.
Dans son for intérieur, même avec des préjugés et des blocages, elle peut avoir des fantasmes, des pulsions sexuelles envers ces personnes que la pression sociale ou morale lui pousse à rejeter.
Souvent il est très difficile de se confronter à une famille ou à un milieu dont on dépend financière et affectivement. Le fait de se tenir à l’abri du regard de ses proches lui permet d’accepter plus facilement ces pulsions. Encore une fois, la rue est le creuset idéal permettant cette alchimie anticonformiste capable de transmuter la mélancolie d’une société qui a oublié l’art de vivre en une vie de joie et de plaisir.
La suite, nous supposons que vous savez faire. Sinon, sont là pour vous aider à finir votre soirée en beauté.
Le marché de la solitude ou le tour d’horizon des moyens qui nous sont offerts pour combattre la solitude sentimentale :